... For a long time, I think.

En effet je ferme ce blog mais je le laisse en ligne parce que je l'aime bien quand même.

Je vous laisse avec une photo de moi prise par Jul. Un petit album à découvrir ici prochainement des photos de Jul. Aller, have a nice week end !

Je reviens enfin. Je me pose enfin. Fioulala. J'ai la tête farcie de nouveaux souvenirs, de nouvelles pensées, de projets, de résolutions. J'aimerais tellement tout coucher sur cette écran et en faire part aux peu de lecteurs qui passent par là... En attendant, j'ai mes souvenirs. Août. D'abord il y a eu les fêtes de village, avec notre chanson qu'on a écouté en boucle toute l'année et je répétais à Charly "tu verras, elle y sera cette été" ; pas manqué. Il y a eu les retrouvailles avec mes amis d'enfances, ceux d'avant mon déménagement. Choc. Bref, passons. Puis la colo, en camping. Ya teeeeellement à raconter, j'te jure. Comment résumer en quelques mots... Le "Ba-Clé", Joue (alias Ba) et Clé, du Con pas si con, les moussaillon, la tente trois places abritant six filles dont ; une tite Dodo trop pressée, une fille qui suit jamais la conversation, une qui peut pas s'empêcher de parler, une dans la lune, deux qui s'incrustent... Vous aurez compris qui sont celles qui ont migré de leur tente vers celle des filles. Oui parce qu'on avait commencé en se serrant les coudes à deux, à connaître personne. Finalement on repars avec Gambas et la cata (heu le cata, on dit un catamaran et une catastrophe...) qu'on reverra, c'est fou, quand on pense qu'on est dans le même collège, tiens... Menfin, passons.  Et puis toutes ces embuscades avec le mono, fromage blanc, mousse à raser dans ma face, vengeance au ketchup/mayo, flambi mal gober encore dans ma face, la trève au dentifrice en dessinant un R (raté) et un C (facile à faire, tiens!) et pis, le partage en couille (ça part en couille quoi) (non on ne se partage pas une couille) (hem, j'ai dû mal à m'exprimer des fois). Ah ça oui. Parce que ça a fini, trempées jusqu'aux os à minuit avec notre colo et les campeurs environant aglutinés autour des sanitaires en train de nous regarder nous battre; Charly, le mono et moi. Puis on s'est fait des câlins, des câlins à tous pour leur coller du dentifrice dessus et puis on a pris la douche et on s'est reçu le coup de grâce : un seau d'eau fraiche, bien fraiche (même froide) (limite glacée). Genre des vieux bourrés qui nous on éteint les lumières et bloqué la porte, j'te jure... Enfin bon voilà et puis tellement d'autres épisodes complètement fou...

(click on the pictures !)

à fleur de peau...

en vacances

Click on the picture...

Une belle journée avec le soleil qui cogne sévère entre deux brise légère (mmmh, ça rime), cet air de campagne, les jeux d'enfants, la fumée dans nos poumons, juste une fois, cachées derrière les arbres. Cette sensation de liberté, c'est bien ça ; c'est bien comme ça, qu'on a les adolescents. En leur faisant croire qu'ils sont libre. En les mettant sur une balançoire et en leur disant que s'ils lâchent tout, ils s'envolent. Mais oui bien sûr.

cigarette, drug, alcool

YOU ARE FREE

On ne sait pas vraiment ce qui nous attend. Juste que c'est là. Que le pas suivant, c'est déjà demain, que le regard vers l'horrizon, c'est voir ce lendemain. Qui n'a jamais rêvé de voir le futur ? Pour ma part, ça m'aurait bien aidé. Il y a des faits comme ça : on est capable, nous, êtres humains, de beaucoup mais on ne peut même pas jeter un coup d'oeil sur lundi prochain. C'est sûrement frustrant mais j'trouve ça mieux. J'aime bien quand les choses gardent leur part de mystère. Et qu'elles restent à la fois incompréhensibles et magnifiques. Saviez vous qu'en regardant les étoiles, vous regardez des millions d'années auparavant ? Telles qu'elles y étaient... (merci à la prof de physique). Oui, la semaine dernière, on a eu de longues discutions philosophiques à ce sujet (merci J*), à mater les étoiles jusqu'à pas d'heure. Je vais finir par connaître ce plafond et la position de ses étoiles par coeur... vous vous souvenez hier soir ?... Mais oui, mais oui. Ya des moments comme ça. In-des-crip-tibl'. Inoubliables et à refaire dans 20 ans.

Make   a   w i s h   !

Je tourne en rond. Je tourne sur moi-même; pour être tout à fait exact. Il ne se passe plus un jour ou un soir au moment de m'endormir où je ressasse tout ça dans ma tête. Comme de vieux souvenirs qui me hantent continuellemnt. En plus de ça, je m'ennuie. Les nuages reviennent et je veux retourner à la mer. Y passer ma vie entière. J'ai pas envoyé mon affiche pour ce concours. Manque de temps. Manque de courage, manque de talent ; je ne sais plus très bien. Je me déçoi et j'ai peur de décevoir. Je tenais tellement à ce concours, j'aurais tellement voulu être au moins parmi les vingt premiers pour être exposée. Mais j'me suis dégonflée : c'est pas que j'ai manqué de temps, c'est juste que je ne m'en donne pas. J'ai la fleme, je ne regarde pas les choses en face, je les esquive, fais mine d'aller mal pour que ça aille encore plus mal. Je fais genre les jamais le temps alors que j'organise mes journées autour du programme TV. Je me dégoute, sérieux. Dire que je m'étais promi d'aller de l'avant. Je piétine comme une conne. Mais merde arrête de t'accabler sur ton sort ya bien pire que ça, pauv' nulle. Je suis vraiment pathétique ; aller fais pas style, je sais que tu le pense aussi.

Looser.

Ce soir, fête, fête, fête de la musique. Demain cours mais pas l'aprem, faut pas abuser non plus. Juste histoire de rendre les livres. De revoir certaines personnes et de passer mon dernier cours avec mon prof préféré, haha (le mari fictif de Juliette). Et puis toute la semaine, camping au fond du jardin. Charlotte si tu me lâches pour ta mamie... Gnêêêê ! En effet, je viens de prendre conscience que ce blog et dans la catégorie JOURNAL IN(F)TIME alors j'en profite pour raconter ma minable vie. Hmrgupff. Vivement la mer. Je veux la voir (la mer). Malheureusement, j'avais déniché un super concours de dessin, pour le jour où je pars. Mgrpff. Le truc était de descendre dans la rue pour dessiner sur le thème de l'eau. Ca aurait été super. Mais je ne pourrais pas y être je suis quelque peu dégoutée. OK, je ne n'aurai sûrement pas gagné. Même pas, mais c'était histoire de rencontrer d'autre amateurs de mon âge etc... En fait, on s'en fout ; l'été est là. Le premier amour de ma vie, celui pour qui je me langui lorsqu'il n'est pas là, et dont je profite et "abuse" dés qu'il pointe le bout de son nez. L'été est mon amant. Ouais, ça c'est tout à fait ça.

no   l  o  v  e 

Yeah !

clic sur la photo pour la voir en grand !

"Ho, pleeeease, take off this picture : I look like a fly ; I hate flies"

J'aime bien retranscrire ma vie en anglais. ça sonne série américaine. C'est pas cool ça, franchement ?, avoir une vie comme dans une série...  Mmh, tais-toi Romane, t'as l'air conne là.

Je "répare" mon blog. Pour l'été. J'ai plein de truc à revoir question couleur et contenu parce que ça sonne trop hiver, c'est terribeul. Franchement, vous n'être pas trop content de constater que c'est l'été ? J'veux dire ; ENFIN ! L'année est, certes, passé à une vitesse effarante, époustouflante, impressionante. Mais l'hiver s'et étiré, alongé à n'en plus finir, j'en pouvais plus, surtout avec mes soucis là... C'est pas grand chose mais ça pèse sévère sur morale. Donc comme j'ai décidé d'aller de l'avant, suite à mon choix entre deux options( c'est une longue histoire, encore), je vais pas m'arrêter sur mes habituels points faibles (the boys, fucking of connard de boys) et combattre mes défauts, mes failles, là où ça bloque tout le temps. Je vais de l'avant, vous dis-je. Si, si.

Même je sais, qu'à la fin de l'été, j'en serai au même point qu'au début, mais c'est pour le principe, l'effort ; sans récompense.

Aller, see U !

p s : Je vais bientôt voir la mer !

Si un jour, on m'avait dit que telle personne m'amènerait à vivre ce que j'ai vécu... Je ne sais pas ce que j'aurai fait, finalement. Je m'y serait préparé. Mais qui connait l'avenir ? Personne, vous pouvez me croire. J'aurai voulu que l'on me dise d'en profiter. Comme quoi la chance ne donne pas elle prête. Qu'il y a un certain volume de bonheur répandu sur Terre et que je ne pouvais pas tout garder. Si seulement on m'avait dit "amuse toi bien, avec ta vie mouvementée avec ses hauts et ses bas, avec ce quotidient toujours plein de surprise parce que ça ne dure qu'un temps, ensuite, ce sera le tour de quelqu'un d'autre". Maintenant, je m'éteins.

Profitez.

Se réveiller un dimanche matin, vers 10h28 et des poussières est décidement ce qu'il y a de mieux dans ma vie. J'ai beau avoir la tête dans le cul, la bouche pâteuse, les cheveux sans dessus dessous, les membres engourdis et les yeux plein de merde (normal si j'ai la tête dans le cul, héhé), je peux savourer la matinale lumière du soleil. Mmmh... J'adore, j'adhère, rien que pour ça, je me rendors quelques minutes, puis me réveille une deuxième et retourne à ma fenêtre, vérifier si il est toujours là, le soleil. Ensuite, quoi de mieux qu'un petit déjeuner sur le balcon, je vous le demande. Jusqu'à me souvenir que c'est dimanche. Les dimanches, ils sont traîtes. Ils vous dorlotent dans leurs bras douillés et vous laissent croire que ça peut durer comme ça tout le temps. Mais le soir venu, on se souvient que demain, c'est lundi, et oui, déjà...

Je voudrais être un chat.