Miam.

OK. J'avais légèrement abandonné ce blog.

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Et j'vais pas vous faire croire que ma vie est trop remplie, que j'suis trop surbookée pour m'en occuper (à ce propos, comment ça s'écrit surbooké??) parce qu'avec ma vie platonique de collégienne, il risque pas de m'arriver grand chose... Je ne préfère même plus vous parler de ma vie tellement ça en devient pathétique... Oui, j'ai pris la sage et complexe décision de me concentrer sur l'essentiel. Hum, dur, dur. Et puis, je ne parle pas tellement de ma passion principale...

Vous l'aurez compris, je suis une mordue de "l'art". Entre guillemets parce que j'aime pas trop me jeter des fleurs, comme ça. Enfin j'veux dire, j'suis pas une spécialiste en la matière. J'éprouve justa du plaisir à dessiner. Je me suis éprise pour un feutre à l'âge 2 ans, en réalisant ma première nature morte (mon doudou, héhé). Et ça dure depuis douzes années, déjà... L'an dernier, je me suis inscrite à un cours de dessin. J'étais hyper éxitée à l'idée de rencontrer des gens qui partagent ma passions près de chez moi, de faire mes preuves auprès d'un prof qui m'apprendrais tout ce que je ne sais pas encore ; tout, tou court. Bon, pour les nouvelles rencontres, on repassera. Le cours étant ouvert au 9/16 ans, il n'y avait que des enfants. Mais très vite, je me suis éloignée des travaux donnés aux "petits", aux affiches de carnavals et masques en plâtres (même si ça me plaisait, bien sûr). Je progressais constament, toujours assoiffée d'art, de connaissance, de technique. Je voulais et veux toujours, tout savoir, tout exploiter, de mon talent, de ce monde vaste et fou qu'est l'art. Le pastel, l'aquarel, l'encre de chine en passant par le pastel... Tout m'intéresse... Ma dernière lubie ? La peinture à l'huile. Houla, me dit ma prof. En effet, il faut des heures de séchage entre chaque couche de peinture, faut travailler la matière et tout le tralala. Alors je me contenterais de l'acrylique, jusqu'à cet été ou je pourrais faire un stage sur 2 séances. C'est parti pour durer tout ça. Mon père dit que je suis comme lui, à 16 ans, quand, au lieu d'être à des jeux vidéos comme mon cher frère, il était dans son monde, à ses dessins... Un truc de famille...